Tout et rien. Tout ou rien. Mais quel bordel !
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Le Janus vu d'une échauguette le 13 à 18h55.
La Croix de Toulouse même heure même lieu.
Fondu du chapeau de l'échauguette et le la Croix de Toulouse.
Porte Dauphine et porte de Pignerol vues de l'échauguette.
Le bâtiment du Grand Colombier, le fort des Salettes et le Janus, 2534 mètres.
Le Montbrison au "couchant".
Au premier plan le coeur de la Collégiale.
Le Mélézin au "couchant". 2677 mètres ou 2680, ça dépend des cartes ????
L'Infernet 2256 mètres.
Si en bas ce n'est pas trop "chouette", en haut non plus.
Les réfections électriques de certains immeubles de la vieille ville n'ont pas été suivies de soins pour redonner un cachet à la ville, c'est dommage.
Le dernier tremblement de terre ressenti à brisé quelques cheminées.
Certaines sont restées en l'état.
Epée de Damoclès permanente, ces structures "pourries" et déstabilisées tomberont un jour.
Quand ? Sur qui ? C'est rue du Dr Vagnat, à l'entrée de la place du Temple, privé mais qui est responsable ? Les ramoneurs voient-ils ce problème ? Le signalent-ils ?
Pour finir la journée de lundi
Mardi, le Mélézin. 7h15, 9°.
Pris de la place Blanchard.
Les casernes du fort des Trois Têtes sur fond d'Infernet.
Le fort des Trois Têtes sur fond de Janus.
Le parc de la Shappe.
Briançon vu de la place Blanchard et l'aqueduc de la Shappe.
Première arche de la porte d'Embrun.
Le jardin d'été ou Chanoine Motte.
Tête d'échauguette sur fond des Têtes de Sainte Marguerite.
Au fond le Pic Gaspard. Nom du premier alpiniste à avoir "vaincu" le Pelvoux que l'on croyait, à l'époque, le plus haut des Ecrins. 3932 mètres.
Son glacier (Au Pelvoux) est visible depuis le Col du Montgenèvre par dessus le Montbrison et seulement de cet endroit en descendant sur Briançon.
Maintenant, passons à autre chose, de moins valorisant.
Tableau de la "Troisième station" à la Collégiale.
Abimé, lacéré par un inconscient, un incroyant, un vandale, un abruti, ou, peut-être, simplement un accident non signalé.
Mais à cette hauteur, l'accident je n'y crois pas beaucoup.
Pour coller écologiquement des pavés.
Vous prenez de la paille, restes non nettoyés depuis le 4 juillet 2010 et rapportés par le vent, des merdes de chiens écrasées (Les merdes, pas les chiens), des mégots en quantité incalculable (Ceux qui ne sont pas descendus dans la Durance par la petite Gargouille) et vous laissez réduire, mais sans feu.
Au bout de quelques mois de non nettoyage vous obtenez une pâte assez compacte et odoriférante.
C'est la rue Mercerie, ou "des Oubliés" ou "Merdecerie".
Il n'y a qu'une photo mais c'est partout comme ça.
Passage possible interdit.
Feux tricolores de chantier.
Longueur de la file de véhicules, environ 2500 mètres sur trois axes, route d'Italie, rue Baldenberger et rue de la Libération.
File d'attente allant jusqu'au commissariat pour cette dernière et jusqu'à la rue Lucien Daurelle par la rue du Dr Forgue pour la seconde.
Il est 19h00.
Pour la "Pub" écologique, c'est loupé.
Journée éco-citoyenne à 1 Euro pour tout le réseau Urbain le 15 septembre, sauf que l'arrêt du Champ de Mars, un des plus importants, est neutralisé.
Pour l'écologie, c'est loupé.
Pour le bordel routier du seul axe pour l'Italie, c'est parfaitement réussi.
Et même franchement "bordellique" alors que le passage sur l'autre voie est possible.
Un autochtone dépourvu de tout permis m'a dit que les semi-remorque ne pouvaient pas prendre le rond-point, j'ai conduit des semi-remorque et il sont plus facile à manier que les cars, qui sont d'une seule pièce.
Dans l'état de l'avancé des travaux tout passe. Je rappelle qu'il est 19h00.
Pour éviter ça également. (Toujours à 19h00)
Je n'ose imaginer ce que donnera la barrière prévue pour la réfection du parking, en été et en hiver.
On va refaire un parking avec barrière, éclairage et vidéosurveillance.
Pour payer ces frais il va être payant à l'année, jour et nuit pour tous les véhicules.
Jusqu'à présent rien ne vient justifier de tels travaux en dehors de la réfection des enrobés et le nouveau traçage de stationnement, ce qui est loin de faire la facture annoncée. 250 000 € entendu d'un côté et 425 000 € entendu d'un autre.
Pour une ville surendettée qui ne peut même plus se payer le luxe de nettoyer, c'est un comble.
J'ai "ouï" dire qu'il avait été conseillé à Mr le Maire de freiner sur les dépenses, qui le repprocherait ?
Alors pourquoi faire passer le superflu avant l'indispensable !
Le manque de clarté et d'information incite à propension de rumeurs diverses et ragots en tous genres, ce n'est pas bon pour la municipalité, pas bon pour les briançonnais et pas bon pour l'image d'un parti politique provisoirement représentatif d'une municipalité.
Travaux incontournables et en période favorable.
La municipalité semble n'être pas responsable sauf qu'un manque de concertation semble être à l'origine de ces désordres.
En d'autres circonstances, (Travaux de l'Argentière, même entreprise) des plaques d'acier sont placée sur la tranchée.
Je n'ai pas connaissance d'un problème particulier entrainant la non utilisation de cette possibilité.
Trois mètres cinquante de disponibles, plus que l'étranglement généré par l'arrêt des bus "Champ de Mars".
Allez, tournons un peu la tête pour voir du plus agréable bien que dégradé.
C'est la porte de Pignerol vue du "glacis" du Champ de Mars juste avant que le soleil ne disparaisse derrière le Prorel.
Le Blétonnet à "Le Laus" , 1745 mètres. Ce matin 15 septembre.
Gargouillis du torrent dans le silence montagneux à 7h30 du matin. Le pied.
Le Laus village, 1745 mètres.
Allumage des échauguettes de la place Eberlé.
Cet effet de soleil est à prendre rapidement, ça bouge vite.
Le Mélézin et le "bastion" de la porte d'Embrun.
Je l'aime bien ma ville, vivement qu'on s'en sorte pour lui redonner un cachet.
Bonne soirée et à demain.